Augustine Njamnshi Président du comité Politique et technique de l’alliance en Afrique pour la justice climatique, camerounais, signale que le grand défie c’est au niveau de l’accès au financement, car l’application de l’accord de Paris, il faut avoir le moyen pour appliquer sur terrain, sans financement on ne peut rien faire.
L’art 9 stipule que le financement doit quitter de pays développer vers le pays en voies de développement qui ont besoin de cet argent pour financer les activités puis la résilience et l’atténuation.
Depuis la promesse de Copenhague en 2009, on n’a pas aussi eu ce financement vert l’Afrique comme il fallait, on a besoin entre 20 milliards de dollars et 60 milliards de dollars par année pour faire face à l’adaptation en Afrique.
Si vous voyez le financement sur place, sans n’atteint mêmes pas 100 milliards de dollars, comme on a promis à Copenhague, la totalité de financement qu’elle existe ne peut pas suffire tous les besoin de l’adaptation de l’Afrique seulement.
L’effet néfaste de changement climatique ça se fait déjà comme expérience en Afrique, c’est ne pas quelque chose d’avenir, ça existe déjà, par exemple le cas du Rwanda on déjà perdus 200 âmes l’année passée, juste pour l’ l’inondation et l’agressivité de la terre, c’est qui est inacceptable, ça demande une urgence.
Le COP en Afrique, nous plaidons que ça ne soit pas COP d’Afrique comme on le dit souvent, nous demandons que le COP 27 soit pour un COP Africain, ça veut dire que les besoins du peuple Africain, soit mis de l’avant et vont toucher les doigts.
Les plaidoyers qui sortent du terrain, la maman qui sont chaque jour sur le champs pour produire sur ce que nous mangeons, produire sur ce que nous faisons pour vendre le produit à envoyer les enfants à l’école, qui soit là pour dire eux-mêmes, pas les interlocuteurs mais il faut que les peuples soit là.
L’Argent de changement climatique doit être à part et non pas l’argent de l’aide, ce financement doit être claire, et que ça vient pour quelque chose de spécifique, voilà avec tel somme on a fait ceci, dans ce pays.
L’accord de Paris dans son art 9, dit que le financement doit être clair précis et prévisible, il faut toujours le plaidoyer surtout pour les peuples africains, il y a d’inégalités, cet article cite ci-haut, stipule que, le financement de climat doit cibler les besoins réels du peuple dans le pays en voies du développement, donc l’adaptation et la résilience.
En 2009, l’Afrique a pris une surprise d’avoir une seule voix en Copenhague, mais entretemps la voix d’Afrique à commencer à désintégrer jusqu’à maintenant et voilà pourquoi comment nous voulons mobiliser cet esprit de Copenhague pour COP 27 pour qu’on parle encore d’une seule voix.
Cet grâce à l’Afrique qu’on parle mêmes d’un but impératif de 1.5, a Copenhague c’était 2 degré, mais avec une seule voix en Afrique on parle de 1.5 degré de température.
Basanda Ns Oswald