Les membres du groupe appelé:“Kihiza kya Bafuliiru ” sont membres fervents du groupe Mayi-mayi reconnu sous le nom de Bilozebishambuke dont l’autorité morale est l’honoraire Ministre national Justin BITAKWIRA BIHONAHAHI.
Celui-ci ne cesse de vanter la bravoure de Mayi-mayi qu’il appelle ses :« Baguruguru »qui signifie en Swahili,« jeunes turbulents ».Rappelons que c’est ces Baguruguru qui ont mis, à feu et à sang, les hauts et moyens plateaux de Territoires: FIZI, MWENGA et UVIRA, emportant ainsi des centaines de morts de la communauté Banyamulenge, décimant ladite communauté et pillant presque tout son Cheptel pour la seule raison d’appartenir à l’ethnique Tutsi.
Les Bilozebishambuke sont Mayi-mayi de la tribu bafuliiru dont la décapitation et le pillage des biens d’autrui leur ont été légués par leurs aïeux BIDALIRO, MALANDULA et MUSHUBAZI qui introduisirent la rébellion de Mayi-mayi dans les territoires susdits, voilà ce qu’affirme le proverbe français dit: « Tel père, tel fils » ou tel maître, tel valet!
Rappelons aussi que le nom-même: « Bafuliiru »est une dérivation du nom « Abapfurero » ou« Bafurero ». Ce nom a été donné à ces derniers par les Banyamulenge, cela met en doute les déclarations répétitives souvent faites par ces jeunes Bafuliiru affirmant qu’ils ont accueilli les banyamulenge sur les territoires précités !
Le chef de ces Baguruguru, l’honorable Justin BITAKWIRA BIHONAHAHI, va jusqu’à dire aussi qu’il a vu, de ses propres yeux, en 1960 les Banyamulenge venir du Rwanda. Il dit qu’à leur arrivée au Congo Démocratique les femmes Banyamulenge portaient des « Bisambagara », paniers, sur la tête, a-t-il ajouté!
Cet honorable Justin Bitakwira Bihonahahi dit cela pour insinuer ou doper ses combattants Baguruguru, et ainsi attiser leur colère contre les Banyamulenge en les trompant que les Banyamulenge veulent s’accaparer de la terre ancestrale de Bafuliiru. Telle est d’ailleurs la philosophie héritée du colinisateur dont la devise était ” diviser pour régner “.
Le colonisateur belge a aussi insinué le guerrier MUKOGABWE MAHINA de s’opposer à son chef KAYIRA qui avait refusé d’obtempérer à la colonisation. Grâce à leur appui et leur aide militaire, MAHINA parvint à prendre le dessus sur son chef KAYIRA et prit ainsi le contrôle de toute l’entité que ce dernier gouvernait et effaçant ainsi son nom durant toute l’administration coloniale Belge!
Si les banyamulenge n’étaient pas autochtones, les Bafuliiru ne pouvaient pas consentir d’être baptisés ce nom par les gens qu’ils appellent étrangers et en être fiers ! Si tel n’est pas le cas, quel était alors l’ancien nom de leur tribu? Même les historiens Fuliiru affirment que le nom Bafurero leur a été donné par le Banyamulenge.
Les propos de ces jeunes Fuliiru affirmant que les banyamulenge sont étrangers n’ont pas de fondement juridique. Ils ne sont pas affirmés par un quelconque document historique hérité du colonisateur belge!
L’appellation Bafuliiru n’est d’ailleurs pas trouvée dans les archives coloniales, on n’y trouve que les Bafurero. Il est aussi important de souligner que le nom « Bafuliiru » n’est pas d’ailleurs connu de tous les membres tribaux de ladite tribu qui continuent à s’appeler Bafurero!
Comment les Bapfurero ou Bafuliiru se moqueraient-ils de Banyamulenge d’avoir changé le nom, alors qu’ils ont aussi changé le leur ? Que les Bafuliiru sachent qu’avant que les colonisateurs ne viennent au Congo, les banyamulenge étaient déjà là ! Oh, on était déjà là !
Les Banyamulenge ont occupé le territoire qu’ils habitent avant que le Congo naisse comme Pays, si l’on fait référence au partage de l’Afrique! La tribu Banyamulenge n’est pas l’unique tribu qui n’ait pas sa propre chefferie au Congo Démocratique ou au Sud-Kivu, il y a pas mal de tribus qui n’en ont pas, les Babembe, les Bamate, les Masandja et d’autres…Tout le territoire de Fizi ne dispose pas d’entités administratives appelées chefferies.
Il ne dispose que des secteurs administratifs pouvant être dirigés par tout citoyen qui brigue le poste de son administration au moyen de passer par les urnes, sans considération de la provenance du candidat qui brigue ce poste! Quant au changement du nom, même le pays, “la République Démocratique du Congo”, a aussi changé plusieurs fois les noms.
Dès le partage de l’Afrique, le pays a été appelé l’Etat indépendant du Congo, puis le Congo Belge, Puis le Congo Belge-Rwanda-Urundi, puis la République Démocratique du Congo, Puis le Zaïre et dernièrement le pays a repris son ancien nom, La République Démocratique du Congo. Demain, le pays sera appelé un autre nom, ainsi de suite.
Il n’est pas d’ailleurs l’unique pays qui ait changé le nom, la Haute Volta est devenue Bukinafaso, la Rhodésie du Sud est devenue le Zimbabwe, la Rhodésie du Nord est devenue la Zambie, et ailleurs au monde, les noms de pays changent. Quand le nom du pays change, en conséquence, le nom de ses habitants change aussi.
Hier, on était zaïrois, aujourd’hui on est congolais… ! Chaque peuple n’a-t-il pas droit de disposer de lui-même et changer son nom comme il le veut ? À quoi cela pèche-t-il ? Pourquoi les Bilozebishambuke s’opposent-ils au nom Banyamulenge? Quel préjudice leur fait-il ? On trouve les Bakongo en République Populaire du Congo, on les trouve aussi en RDC, Ils sont Kinois, ils sont aussi Brazzavillois, on les trouve même en Angola. Les Hema de l’Ituri ne sont-ils pas frères de Batoro de l’Ouganda ?
Si les Banyamulenge ont comme frères Rwandais ou Burundais, quel préjudice cela cause-t-il aux membres de Kihiza kya Bafuliiru qui s’y opposent? Les Bafuliiru n’ont-ils pas aussi des frères Burundais, des frères Ougandais ou frères rwandais, si on fait référence à leurs clans respectifs ?
Les Nande sont citoyens congolais; mais aussi, ils sont aussi citoyens Ougandais! La communauté Bafuliiru admet qu’elle est essentiellement constituée de clans venus du Rwanda, du Burundi et de leurs cousins proches les Bashi et les Banyindu.
Plusieurs peuples qui habitent la RDC, on les trouve de part et d’autre des frontières, on citerait les Kalunda, les Bemba, les Tchokwe, les Barundi et autres ! Tel est aussi le cas de Bafuliiru ! Pourquoi la nouvelle appellation dite: « Bafuliiru »n’a-t-elle pas causé aucun problème aux Banyamulenge qui leur ont donné ce nom?
Pourquoi ces derniers ne se sont-ils pas opposés à cette transformation de Bapfurero en Bafuliiru? Voilà ce qui prouve que les Banyamulenge n’ont pas été accueillis par les Bafuliiru, au contraire, comme nous l’avons dit là-dessus, les Bapfurero et les Banyamulenge avaient tous un chef commun KAIRA, entendez (=le chef KAYIRA) dont la chefferie a été supprimée par le colonisateur Belge dans les années 1930, de suite d’insoumission aux ordres du colonisateur.
Par méconnaissance de ce que signifie « Umurenge », les bafuliiru disent que le nom appartient aux Batwa, les pygmoïdes, qui habitent l’endroit appelé « Mulenge », oubliant qu’ailleurs il peut y avoir un autre endroit appelé « Mulenge » !
Toute colline peut être appelée « Umurenge », d’où la dérivation du nom « Mulenge ».Le chef-lieu de la Chefferie Bafuliiru se trouve à Remera, l’endroit habité par les Bafuliiru du clan Baremera dont les ascendants directs sont Rwandais.
Ne peut-on pas associer ce nom « Remera »à celui du Secteur administratif du District de Gasabo, dans la Mairie de la Ville de Kigali, Capitale du Rwanda ?
Qui douterait que les Ba-Remera sont venus du Rwanda ? Pourquoi les Bafuliiru haïssent-ils le Rwanda, leur Pays d’origine ?
Nous ne voulons pas consanguiniser les Bafuliiru aux Banyamulenge, mais nous voulons prouver que le paroxysme de la haine de Bafuliiru envers les Banyamulenge s’est généré en génocide !
Et ce, par manque d’humanisme, d’intelligence et d’autres vertus… ! Voilà ce qui caractérise le« Kihiza kya Bafuliiru »essentiellement constitué de Mayi-mayi du groupe Bilozebishambuke, ennemis jurés de la communauté Banyamulenge. Ces mayi-mayi ont pris les armes avec un seul but d’exterminer les Banyamulenge au Congo Démocratique.
Leur slogan dont ils se servent dans l’incitation aux tueries régulièrement organisées contre les Banyamulenge, c’est : « Fyeka adui », qui veut dire « Raser l’ennemi »! Eux-mêmes chantent que leur ennemi éternel est la communauté Banyamulenge !
Voilà ce que dit alors l’adage latin dit : « Homo homini lupus », l’homme est un loup pour l’homme ! Mieux vaut rencontrer à-mi-chemin un loup que rencontrer un Mayi-mayi-Bilozebishambuke de Kihiza kya Bafuliiru, ce dernier serait très cruel qu’un loup !
N’eut été la protection de Dieu et l’intervention de sauvetage ayant été faite par les jeunes Banyamulenge d’auto-défense tous les Banyamulenges des hauts et moyens plateaux seraient tous morts. Leur auto-défense a considérablement ralenti le plan macabre de bilozebishambuke.
Le pari de ces bilozebishambuke est qu’: ”Aucun munyarwanda, soi-disant munyamulenge ne doit survivre, il faut tuer tout le monde”. Malgré l’intervention de ces jeunes Banyamulenge qui ont défié ce plan génocidaire de Bilozebishambuke et leurs collatéraux Mayi-mayi, ces derniers ont réussi à emporter des milliers des vies humaines et ont pillé près de la moitié d’un million de vaches afin que les survivants meurent de faim ou de la malnutrition, au cas où ils échapperaient à leur épée !
Ces membres de KIHIZA KYA BAFULIIRU ne désarment pas, ils cherchent à tout prix associer d’autres tribus qui s’étaient abstenues d’adhérer à ce plan d’extermination ethnique, notamment les Barega et les Bashi, tout en leur rappelant qu’ils sont tous bantous devant se solidariser pour exécuter le génocide perpétré contre le Banyamulenges qui sont nilotiques, affirment-ils !
Malgré cette requête formulée par les Bilozebishambuke d’associer les Bashi et les Barega à ce plan macabre, ces derniers ont fait sourde oreille, et se moquent de ces combattants qui mettent toutes les tribus de la Province dans le même sac, en voulant embraser toute la région et culpabiliser tout le monde d’être génocidaire comme ils le sont !
En date du 17 novembre 2021, ce groupe appelé Kihiza kya Bafuliiru, constitué essentiellement de planificateurs et superviseurs du génocide qui décime actuellement la communauté Banyamulenge, ce groupe a écrit une lettre au Procureur de la Cour Pénale Internationale, CPI, dont l’objet est ainsi formulé : « Rappel de l’accélération de mise en accusation contre Michel RUKUNDA alias MAKANIKA », l’accusant de tous les crimes dont ils sont eux-mêmes auteurs !
Ce brave RUKUNDA Michel, c’est lui qui a pu ralentir les tueries continuellement perpétrées par ces Mayi-mayi. Pour protéger sa communauté, il procède par organiser ses frères en auto-défenses civiles pour résister aux attaques de Mayi-Mayi dont les membres de Kihiza Kya Bafuliiru sont porte-paroles.
Ces porte-paroles de Mayi-mayi- Bilozebishambuke mentent que RUKUNDA Michel organise des expéditions d’épuration ethnique et d’extermination des populations Bafuliiru, Babembe, Bavira et Banyindu dans les Hauts et moyens plateaux, alors que ces endroits ne sont pas habités par les Bavira quand bien même leur chefferie s’étend jusqu’à Bijombo, dans les Hauts plateaux de Monts Mitumba!
Les Bafuliiru habitent seuls les moyens plateaux de Milimba, aucun combat livré par les banyamulenge n’y a jusqu’ici été signalé. Seul le Village Masango du territoire d’Uvira où les mayi-mayi, bilozebishambuke, avaient recélé toutes les vaches razziées dans les Hauts plateaux.
Les jeunes Banyamulenge d’auto-défense y sont arrivés en poursuite de leurs troupeaux qui s’y étaient massées pour les récupérer. Ce raid avait aussi comme but de montrer aux escadrons de morts du groupe Bilozebishambuke que les jeunes banyamulenge sont prêts à défendre leur terre et récupérer leurs troupeaux !
Quels massacres que ce libérateur, RUKUNDA Michel, a-t-il organisés à l’encontre de ces populations Fuliiru dont il est lui-même protecteur ? Son objectif est de ramener la Paix à cette contrée de Hauts et moyens Plateaux de la Chaîne de Mitumba.
RUKUNDA Michel est haï par ces Biloze-bishambuke pour avoir défié leurs attaques meurtrières, ils sont fâchés pour n’avoir pas réalisé leur rêve de nettoyage ethnique. RUKUNDA Michel est connu par sa simplicité, son audace, son courage, sa détermination, sa clémence et d’autres vertus que Dieu Seul connaît !
Assurément Michel RUKUNDA n’a pas d’égal, sauf « Moïse de la Bible qui, devenu grand, refusa d’être appelé fils de la fille de Pharaon, aimant mieux être maltraité avec le peuple de Dieu que d’avoir pour un temps la jouissance du péché, regardant l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Egypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération (..) ».
Pareillement, on ne serait pas aberrant de paraphraser ce passage biblique en vantant le courage et la Foi de ce libérateur RUKUNDA Michel alias MAKANIKA, qui aussi, ayant appris les nouvelles de son bercail et le sort que subissent ses parents et ses frères, le calvaire infligé injustement par ces combattants Mayi-mayi au vu et au su du gouvernement qui qualifie ces massacres de simple conflit opposant des éleveurs contre des cultivateurs; MAKANIKA a résolu d’abandonner sa fonction du Commandant du régiment, malgré le salaire colossal y afférent qu’il touchait; il a ainsi quitté l’armée pour endurer la même souffrance avec les siens.
Même si ses parents ne disposent pas de quelque chose, si modique soit-elle, pour le récompenser, Dieu Seul le lui paiera !
Quant à l’attaque de Mikenke que ce Kihiza kya Bafuliiru impute injustement à RUKUNDA Michel, elle a été planifiée par les Mayi-mayi Fuliiru, appelés« Biloze-bishambuke » contre leurs camarades Mayi-mayi d’Ebuila MUTETEZI et Amuri William YAKUTUMBA, ces deux groupes Mayi-mayi ne se sont pas entendus au partage du butin, les vaches de Banyamulenge qu’ils ont injustement pillées, comme l’affirment les familles victimes de ces attaques impitoyables!
Pour d’autres attaques meurtrières de civiles dans les Hauts Plateaux que le Kihiza kya Bapfuriru impute bizarrement aux jeunes Banyamulenge d’auto-défense, soi-disant qu’ils ne cessent de s’attaquer à la population civile, il s’agit bel et bien des affirmations gratuites non vérifiées ou approuvées par une enquête indépendante, on ne connaît pas encore les bourreaux.
Visiblement, on peut bel et bien imputer ces attaques aux Mayi-Mayi ou aux FARDC, car les jeunes Banyamulenge ne peuvent pas avoir l’audace d’entrer dans les camps militaires ou dans les camps de déplacés entourés par les casques bleus de la MONUSCO qui assurent leur protection ! La fameuse attaque attribuée injustement aux jeunes banyamulenge est celle qui a emporté des vies humaines de femmes Fuliiru de Bijombo.
Des informations qui nous parviennent affirment que cet incident malheureux est dû aux vengeances des familles Fuliiru, entre elles, qui s’accusent réciproquement de la sorcellerie ! À Bijombo, on ne peut plus y trouver des Banyamulenge. Soit, ces derniers ont fui les attaques de MUTETEZI Ebuila et AMURI Yakutumba vers des endroits inconnus pour sauver leur vie. Soit, ils sont allés se réfugier à Minembwe pour être protégés par les forces Onusiennes!
Que ce Kihiza kya Bafliiru sache d’abord qu’il ne peut y avoir un quelconque génocide sans l’implication de l’Etat. Or, ce sont les jeunes Bafuliiru qui sont manipulés pour commettre ces forfaits à l’endroit des Banyamulenge, comment prétendraient-ils être victimes d’un génocide, alors qu’ils en sont planificateurs et incitateurs ?
Les membres de Kihiza kya Bafuliiru ont donné l’instruction à leurs frères conducteurs de Bus, des taxis et des motards de ne pas permettre aux Banyamulenge de monter à bord de leurs véhicules, sinon ils seront aussi égorgés avec leurs clients Banyamulenge. Les Banyamulenge sont marginalisés et ne bénéficient pas de droits du déplacement. Chaque jour, les banyamulenge tombent dans le guet-apens qui emportent leur vie!
Le plan d’exterminer le Banyamulenge n’est plus déguisé, les tueries se font en plein jour !
Le Major Joseph KAMINZOBE a été abandonné par ses compagnons aux mains des assassins qui l’ont fait descendre dans le véhicule d’ambulance et l’ont tabassé, après être humilié, torturé jusqu’à ce qu’il a rendu l’âme ! Puis, ils l’ont brûlé et mangeant sa chair ! Comment ces anthropophages peuvent accuser les jeunes banyamulenges d’être à l’origine de leur propre génocide qui les extermine !
Soulignons que ce qui exacerbe le génocide commis à l’encontre de banyamulenge sont les discours incendiaires vociférés par les Bilozebishambuke affirmant qu’aucun Munyamulenge ne doit pas survivre et le feu d’avidité qui ronge leurs cœurs, l’animus domini de s’approprier les vaches de Banyamulenge, c’est ce qui donne la motivation aux jeunes Fuliiru, Banyindu et Babembe de s’associer au groupe armé Mayi-mayi.
Quant à la mort du Colonel Yaoundé, la Bible nous interpelle qu’on nous jugera du jugement dont nous jugeons, et l’on nous mesurera avec la mesure dont nous mesurons ! Le Colonel Yaoundé, C’est lui qui enterrait vivants les jeunes Banyamulenge dans une fosse commune! La mesure qu’il mesurait pour les autres, c’est elle qu’on lui a aussi mesurée…!
Somme toute, tous les propos de KIHIZA kya Bafuliiru sont mensongers et leurs accusations sont venimeuses, elles ne doivent pas être prises en considérations, car elles sont fondées sur la ségrégation ethnique.
Leur animosité qu’ils ont à l’endroit des Banyamulenge n’est pas déguisée. Les signataires de l’acte d’accusation du 17 novembre 2021 devraient être poursuivis pour assassinats et crime de génocide organisé contre les Banyamulenge.
RWAMAKOMBE Pax Césaire,
Amicus Humani, le Philantrope.